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Prenant forme au croisement de la maturité artistique et de la mémoire affective et sensorielle de son auteur, « Voyage » apparait - dans l’œuvre de Savic - comme un livre atypique posant les fondations d’un univers infiniment romantique, en phase d’être complètement exploré. Ce « livre-frontière », à mi-chemin entre arts visuels et arts de l’écriture et de la parole, précise les contours d’une œuvre immatérielle intemporelle et aboutie. Au fil de ses errances, le lecteur devient l’acteur même du poète, réceptacle somptueux de ses émotions enfouies, émotions - et réminiscences - que la simple mélodie des syllabes et l’agencement harmonieux des mots suffit à faire jaillir.

Octobre 2015. 192 pages 12€

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Mai 2011. 108 pages. 10€

Après sa «Migration des Anges», Zoran Savic, artiste maintes fois primé, nous revient aujourd’hui, plus inspiré que jamais, avec «Le temps en culotte courte», son nouveau recueil de poésies atypiques. A l’origine de ce recueil - comme toujours romantique et empreint d’un style inimitable - relevé d’un brin de fantaisie, il y a le Temps, cet instant magique, qui, de son intention dirigée, mène la danse éclectique des végétaux, des animaux, de l’homme et de sa foi, à pleine maturité. Les contrées traversées par le poète nous apparaissent, alors, comme les jalons de cette épopée emblématique à travers une terre toute temporelle, évoquant immanquablement les mythes et les légendes nordiques, le folklore ancien, les contes d’Andersen, les envolées lyriques d’un corbeau depuis un arbre, de ceux que se plaisaient à peindre Caspar David Friedrich.. Et c’est avec les yeux d’un enfant que le lecteur entre, pas à pas, ou plutôt se laisse entraîner, dans l’univers magique de Zoran...

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Septembre 2015. 284 pages. 12€

Revoici Zoran Savic ! Le peintre aux toiles maintes fois primées, devenu, au fil des décennies, poète romantique des temps modernes, nous livre un nouveau recueil. « La peur des hirondelles », un titre évocateur… Et un ouvrage rédigé précisément pour entretenir le rêve, pour faire rêver tous ceux qui n’en ont plus l’habitude. A l’image de ces oiseaux symbolisant à la fois l’arrivée du printemps et le renouveau, le tout nouvel ouvrage de Zoran Savic nous fait voyager, de l’Europe à l’Afrique du Nord, peut-être, où prennent vie et envol tant de contes et de légendes… Nous retrouvons ici l’écriture fine, ciselée et haute en couleurs de Zoran Savic, un poète qui écrit comme il peint, par touches éclatantes, favorisant tantôt le clair-obscur, tantôt la pleine lumière

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Octobre 2015. 116 pages. 12,90€

Aquarelle – un recueil éclectique quant aux formes littéraires qu’il contient – comprend des poèmes, de courtes nouvelles, quelques comptines… imaginés par Zoran Savic. Ici l’auteur s’émancipe du genre discursif mais aussi de la poésie classique et se libère de toute servitude conceptuelle et narrative. Savic fait ici l’apologie du temps qui passe, du vide que laisse la jeunesse fanée, du plaisir des choses simples. Il nous propose un ensemble de textes dans lesquels on peut naviguer et faire – du même coup – voler en éclats les préjugés sur la vie d’artiste, bohème… Ses visions du passé provoquent d’amusantes ballades mi-intellectuelles, mi-enfantines qui nous laissent apercevoir l’imagination indomptable de l’auteur. La créativité de Savic est artistique mais avant tout d’ordre linguistique. Il nous livre bien ici une peinture « écrite », un mode d’expression alternatif. Enfin un ouvrage chargé de nostalgie mais optimiste! Dans les paysages « écrits » par Savic, une nouvelle réalité prend vie.

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Septembre 2014. 157 pages. 12€

La poésie est plus qu’un art littéraire… Avec son ouvrage “Cristal et Vermeil”, Zoran Savic, éveille les consciences sur le temps qui passe, les nécessaires regrets de jeunesse et la maturité de l’âme, en perpétuel cheminement, tout en exprimant ses émotions selon une règle atypique mais harmonieuse. Dans son monde imaginaire, sombre et romantique, il rédige une véritable anthologie poétique, se dessinant dans la perception de son vécu, par nous autres lecteurs, tout en livrant un texte qui - lu dans sa globalité - aurait l’apparence d’une fable, d’une fresque où humains, animaux et Nature cohabitent pour le meilleur. C’est l’apprentissage de l’amour et de la vie, en osmose avec la sacro-sainte Nature qui donne son thème à Zoran Savic. Je recommande à tous ceux qui souhaitent « rêver à l’ancienne », d’emporter ce recueil dans leur voyage, sur le chemin…

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Octobre 2015. 134 pages. 10€

Si le paradis existe, il est probablement semblable à celui brillamment décrit ici par Zoran Savic, dans son épopée poétique fabuleuse, sa « Migration des anges ». Ce peintre de génie, maintes fois primé, y exprime toute l’ampleur de ses sentiments envers le monde, la nature, l’univers spirituel, de sa plume évanescente. Une plume légère, volatile comme une âme, sachant se faire, parfois, aiguisée et rebelle. Ses mots singuliers le consacrent ici comme un artiste complet, nous faisant imaginer le cheminement humain et spirituel de toute une vie… Cette « migration » remarquablement aboutie, renforcée par une écriture calme traînante, déroutante et follement romantique, guide le lecteur, pas à pas, dans une quête de la mer à la terre et de la terre au ciel…

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Octobre 2015. 316 pages. 16€

Que reste-t-il des couleurs pimpantes de la jeunesse quand l’âge mûr a été atteint? Rien ou si peu… Que reste-t-il alors au poète de son œuvre passée ? Quelques audaces, une vaste collection de souvenirs soigneusement rangée, des histoires racontées au coin de l’âtre à ses petits-enfants et la nostalgie, entière et prégnante. Zoran Savic, de sa plume légère et romanesque, nous conte ici des aventures incroyables, toujours proches de la nature, cette nature qu’il peint et qu’il aime tant. Son recueil de poésie déborde d’énergie, cette énergie qu’il met dans ses mots pour atteindre ce qui constitue peut-être pour les autres une chimère : la vie éternelle de l’âme. Ce recueil permet au lecteur de s’envoler dans des contrées sauvages et inconnues car ce sont bien toutes ses vies que le poète nous conte ici. Aventurier des vers et de la prose, parfois, Zoran Savic signe ici un recueil empli d’illusions perdues, de missives désabusées. L’œuvre de toute une vie, sûrement…

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Juillet 2011. 115 pages. 12,90€

A travers mes poèmes, j'ai essayé de rapporter le plus précisément possible tous les paramètres d'observation de mon environnement afin de transmettre une vue d'ensemble sur la nature, les sentiments et la philosophie. Quand je suis arrive en France, j'avais environ 1000 pages d'écrits. Mais j'ai décidé de changer de vie, et un beau jour, j'ai mis toutes feuilles noircies dans un carton que j'ai déposé sur la Loire. Le fleuve a emmené mon passé mais le désir et le besoin d'écrire ne m'ont jamais quitté. En signant ce premier recueil de poèmes, le besoin nourricier d'écrire n'a, lui, pas été emporté et reste toujours aussi présent dans mon cœur.

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